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![]() Année de construction : 1981 - Mise à l'eau : 1982.
L'ensemble de la construction est suivi et agréé par le Bureau VERITAS. |
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![]() Voir le plan des aménagements |
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![]() Voir le plan de voilure |
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Toutes les voiles peuvent être rangées dans un des grands coffres extérieurs AR tribord.
Le plan de pont est adapté à la navigation en équipage réduit ou en solitaire. Winches :
Les deux winches de roof sont utilisables depuis le cockpit ou depuis la descente. Ils desservent chacun une série de 6 bloqueurs SPINLOCK sur lesquels sont renvoyées les manuvres courantes : halebas de bôme, chariot et écoute de gv ; drisses de spi, tourmentin, secours ; halebas et balancine de tangon.
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![]() Volvo-Penta 2040 Transmission Sail-drive, hélice fixe tripale aluminium 17 x 14.
Circuit 12 V bipolaire (2 pôles isolés, y compris le circuit moteur). Stockage :
Production :
En grande croisière, loin des marinas et de leurs facilités, la capacité de stockage est moins importante que la capacité de production. La multiplication du nombre de batteries génère souvent plus de problèmes qu'elle n'en résout (poids, coût, encombrement, gestion de la charge, ...). Côté production, la combinaison éolienne + solaire est satisfaisante : en route, l'éolienne suffit généralement à compenser la consommation, sauf au portant dans le petit temps. Dans ce cas, ainsi qu'au mouillage, le panneau solaire apporte un complément apprécié.
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![]() Voir le coin de navigation |
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La console instruments, située au-dessus de la descente et bien lisible depuis le cockpit, supporte les indicateurs de vent (force, direction), position des dérives, vitesse surface, profondeur, ainsi que la commande du pilote.
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En grande croisière, on navigue le plus souvent entre le près bon plein et le grand largue, allures auxquelles un dériveur est nettement plus performant et plus confortable quun quillard. On profite des petits mouillages tranquilles et des remontées de rivières, qui ne sont accessibles quaux faibles tirants deau, catamarans et dériveurs intégraux. On apprécie de pouvoir venir jusquà la plage avec le bateau, que ce soit pour une soirée baignade + barbecue ou pour une marée, le temps de nettoyer la carène. Dans le gros temps, le Via 42, auquel ses formes arrières épanouies donnent une stabilité remarquable, a un comportement très marin et des mouvements très doux : dérives relevées, il dérape en restant bien à plat et ne risque pas à chaque passage de lame le fameux croche-pied qui fait prendre à un quillard des angles de gîte dangereux. |
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Tout simplement pour avoir des possibilités de réglage supplémentaires : on peut jouer à la fois sur la surface et sur la position relative du plan anti-dérive, en fonction de lallure, de la vitesse du bateau et de létat de la mer. On conserve ainsi la meilleure efficacité quelles que soient les conditions. Et avec un peu dhabitude, on trouve très vite le réglage idéal. |
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La pompe hydraulique manuelle est commandée depuis le cockpit par une manivelle de winch et un distributeur : 2 manettes (AV et AR) et 2 positions pour chacune (montée et descente). La montée et la descente se font sans aucun effort : dès l'âge de 4 ans, le mousse avait plaisir à exécuter lui-même les ordres du capitaine. Les deux indicateurs situés sur la console instruments permettent de visualiser la position de chaque dérive en un coup doeil et de faire un réglage précis. |
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Non : le Zodiac Cadet 240-S que nous avons utilisé est hors dusage.
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Bateau éprouvé et équilibré, le VIA 42 néchappe pourtant pas à la règle : nobody is perfect ! Deux points méritent dêtre signalés :
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En 1982, "Stardust" était le bateau de démonstration du chantier VIA-Marine à Fécamp, avant d'être armé en charter pour des croisières en Méditerranée à partir des bases VIA-Marine de Saint-Tropez et Port-Grimaud. Rebaptisée "Graine d'Étoile" en 1988 par ses nouveaux propriétaires Bernard et Claire, elle est remise à neuf par le chantier à Fécamp. Son port d'attache devient Calais. Durant quatre longs étés, elle explorera les côtes du Nord de l'Europe : Ecosse, Pays-Bas, Scandinavie, Pays Baltes. C'est en janvier 1992 qu'elle est acquise par ses propriétaires actuels, qui complètent et modernisent son équipement (électricité, électronique, voiles,...) avant de partir pour une longue ballade atlantique en famille : 1992 : Bretagne, Vendée, Espagne, Portugal, Gibraltar, Madère. |
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